Une fin d’année prometteuse ou inquiétante pour les sages-femmes ?
Les sages-femmes terminent l’année 2020 épuisées et désabusées, et espèrent que 2021 permettra de revenir sur les revendications, mises en sommeil par la crise sanitaire.
Les sages-femmes terminent l’année 2020 épuisées et désabusées, et espèrent que 2021 permettra de revenir sur les revendications, mises en sommeil par la crise sanitaire.
Depuis 2018, le RGPD concerne tous les professionnels, devant traiter des données personnelles. Les sages-femmes libérales doivent donc aussi se plier à ces nouvelles obligations qui leur sont faites. Au quotidien, cela implique de tout faire pour pouvoir justifier des actions entreprises.
Les étudiantes souhaitant devenir sage-femme n’ont plus à passer par la PACES, supprimée depuis la rentrée 2020. Alors quel parcours doivent-elles suivre ?
Alors qu’elles se disent maltraitantes par obligation, les sages-femmes s’irritent aussi de la maltraitance dont elles sont victimes de la part des autorités publiques.
Les sages-femmes libérales spécialisées dans l’accouchement à domicile dénoncent leur stigmatisation et le harcèlement, dont elles se disent victimes.
Les sages-femmes et toutes les professions libérales devraient connaitre un nouveau régime pour l’indemnisation de leurs arrêts de travail, et ce dès 2021.
Les sages-femmes libérales sont pleinement mobilisées, comme toutes les autres professions de santé, pour faire face à la crise qui frappe notre pays, même si leurs revendications persistent.
Avec le nouveau confinement annoncé par le président de la République, les sages-femmes savent qu’elles vont devoir continuer à s’astreindre à un protocole déjà bien connu.
C’est une colère sourde qui prend de l’ampleur. Et les sages-femmes de la maternité de Troyes ont réussi à résumer la situation avec une touche d’humour mais aussi beaucoup de détermination. Seront-elles entendues ? La colère…