A l’instar de bien d’autres professionnels de santé, les sages-femmes libérales sont conscientes qu’elles peuvent être contrôlées par l’Assurance Maladie et faire l’objet d’une procédure en réclamation d’indus. Cette lutte contre la fraude constitue désormais une menace, qui peut en angoisser certaines.
On ne peut plus se limiter à distinguer les sages-femmes libérales des sages-femmes salariées. D’autres voies existent désormais, et l’exercice mixte semble répondre à des attentes fortes du moment.
Au quotidien, la sage-femme libérale accompagne ses patientes en veillant à se conformer à bien des contraintes. La sécurité informatique en fait désormais incontestablement partie, et pourrait même prendre encore plus d’importance dans les semaines et les mois à venir.
Les sages-femmes libérales ou hospitalières sont confrontées, comme tous les soignants, à des violences physiques ou verbales au quotidien. Un rapport souligne la progression inquiétante du phénomène.
Les sages-femmes sont autorisées à prescrire et à administrer le vaccin anti-Covid19. Mais les sages-femmes s’interrogent encore sur de nombreux points.
Entre e-médecine, e-santé et téléconsultation, nul doute que le numérique a profondément changé l’univers de la Santé. Mais avec la crise sanitaire, les sages-femmes libérales ont-elles aussi connu une accélération de ces évolutions pour faire face à une situation inédite.
Les sages-femmes libérales et hospitalières ont fait entendre leurs revendications lors d’une grande journée de mobilisation le 26 janvier dernier.
En pérennisant les maisons de naissance, les autorités sanitaires offrent un nouveau cadre de travail pour les sages-femmes libérales
Devenir sage-femme libérale en 2021 implique de franchir de multiples obstacles. Quels sont-ils et quelles sont les étapes à suivre ?
Les sages-femmes terminent l’année 2020 épuisées et désabusées, et espèrent que 2021 permettra de revenir sur les revendications, mises en sommeil par la crise sanitaire.
